@article{Popović_2022, title={QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LA POÉSIE FRANÇAISE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE}, volume={46}, url={https://godisnjak.ff.uns.ac.rs/index.php/gff/article/view/2292}, DOI={10.19090/gff.2021.3.245-259}, abstractNote={<p>Pendant la Seconde Guerre mondiale en France certains poètes estiment qu’ils ont un rôle social considérable et se font les porte-parole des opprimés. Ils s’engagent dans la lutte corps à corps mais aussi la plume à la main, tout en élevant leur voix pour proclamer leur foi en la liberté et pour montrer que leurs vers patriotiques peuvent devenir une arme virulente contre l’occupation nazie et les souffrances du peuple. Les poètes deviennent donc messagers de paix et d’espoir et les combattants apprennent leurs poèmes par cœur ou on les diffuse légalement ou clandestinement. Mais il est possible de voir les choses sous un autre angle : il existait un certain nombre de poètes qui refusaient tout engagement littéraire, comme c’était le cas des anciens surréalistes, de même, il y avait des poètes qui s’engageaient du côté de la Collaboration, ou ceux qui refusaient de publier ou ne pouvaient même pas le faire sous l’Occupation pour des raisons diverses : matérielles, morales ou autres. Nous nous proposons d’aborder cette problématique, certainement très vaste et complexe, en prenant en considération les contraintes d’un article.</p>}, number={3}, journal={Годишњак Филозофског факултета у Новом Саду}, author={Popović, Diana}, year={2022}, month={Јан.}, pages={245–259} }